Ne pas pouvoir mettre un pied devant l’autre

  • {Ne pas pouvoir mettre un pied devant l'autre}, depuis 2004
    Ne pas pouvoir mettre un pied devant l’autre, depuis 2004
    Sculptures activables. Toile imperméable, ouate, mousquetons, étiquettes, dimensions variables
    Vue de l’exposition Stocks en stock, Lavitrine (lac&s), Limoges, 2004
  • {Ne pas pouvoir mettre un pied devant l'autre}, depuis 2004
    Ne pas pouvoir mettre un pied devant l’autre, depuis 2004
    Sculptures activables. Toile imperméable, ouate, mousquetons, étiquettes, dimensions variables
    Vue de l’exposition Stocks en stock (2004), Lavitrine (lac&s), Limoges
    Au sol : pièce de Michel Jeannes
  • {Ne pas pouvoir mettre un pied devant l'autre}, depuis 2004
    Ne pas pouvoir mettre un pied devant l’autre, depuis 2004
    Détail
  • {Ne pas pouvoir mettre un pied devant l'autre}, depuis 2004
    Ne pas pouvoir mettre un pied devant l’autre, depuis 2004
    Détail
    Vue de l’exposition Stocks en stock - art en dépôt (2006), Aperto, Montpellier
  • {Ne pas pouvoir mettre un pied devant l'autre}, depuis 2004
    Ne pas pouvoir mettre un pied devant l’autre, depuis 2004
    Vue de l’exposition Stocks en stock - art en dépôt (2006), Aperto, Montpellier

 

Série de 40 vêtements réalisés sur mesure privant de l’utilisation normale de la jambe droite. Un crochet et un anneau disposés de chaque côté du bassin permettent une manipulation à plusieurs.
Installés sur des portants en arrière boutique, ils sont accessibles à chaque « possesseurse d’expérience » grâce à une languette consigne.

Le projet est évolutif dans la forme (génération n°1) et dans les quantités (autant de vêtements que de personnes souhaitant faire l’expérience). Chaque personne s’engage à faire le déplacement pour redonner corps à « son » vêtement dans les lieux où il est mis à disposition.

Kristina Depaulis

 

Vues de l’activation dans le cadre de l’exposition Stocks en stock, Lavitrine (lac&s), Limoges, 2004

 

 Ne pas pouvoir mettre un pied devant l’autre/mode d’emploi, 2004

 

Crédits photographiques : Antoine Gatet

©Adagp, Paris