Formes en transit

 

Formes en transit, 2015
Bois, toile, agrafes, acrylique, dimensions variables
Vue de l’installation de DNSEP, ESBA TALM, Angers, 2015

 

Vue de l’exposition De part et d’autre, Moulin de Constance, Pons, 2021
Sur l’invitation de François des Ligneris

 

Toujours à la limite de la destruction, certains classiques de la sculpture moderne et contemporaine sont jetés en vrac le long du mur. Grises, confectionnées avec les matériaux de prédilection de l’artiste, elles rendent hommage au corpus d’œuvres avec lequel il a fait ses armes. En même temps le « mal fait » volontaire de ces volumes, la neutralité grisâtre de leur surface et leur installation foutraque dans l’espace montrent sa volonté de dépasser cet héritage. Tout au moins il essaie de les démystifier. Manifestement, il dépasse les dualités sculpture/peinture, volume/surface, forme/concept.

Christophe le Gac, « Silhouettes mimétiques », 2016 (extrait)

 

Prismatique d’après Raphael Zarka, 2015
Bois, toile, agrafes, acrylique, 30 x 130 x 270 cm

 

Roue, d’après Vincent Ganivet, 2015
Bois, toiles, agrafes, acrylique, 220 cm de diamètre

 

Broken obelisk, d’après Barnett Newman, 2015
Bois, toiles, agrafes, acrylique, 90 x 90 x 220 cm

 

Icosaèdre, d’après Ai Weiwei, 2015
Bois, toiles, agrafes, acrylique, 80 x 80 x 80 cm

 

Colonne sans fin, d’après Constantin Brancusi, 2015
Bois, toiles, agrafes, acrylique, 320 x 40 x 40 cm

 

Rhombi, d’après Raphael Zarka, 2015
Bois, toiles, agrafes, acrylique, 60 x 60 x 60 cm

 

Crédits photographiques : Ladislas Combeuil
© Adagp, Paris