Trois moniteurs alternent, en boucle, de courtes vidéos en apparence un peu absurdes, dans lesquelles se croisent de vrais et de faux animaux. Plus loin, sans bouger, un mouton noir vogue sur un radeau, au gré de sons naturels sortis de la platine vinyle voisine. De l’eau qui ruisselle, du vent en rafale, des cris d’oiseaux, des hurlements de loups,… accompagnent cette itinérance ; ils recréent l’atmosphère d’une nature sauvage, non domestiquée par l’homme. [...]
Camille de Singly, « Entre chiens et loups », 2016
texte de l’exposition
Les deux dernières images de la page ont été produites par la Progress Gallery (Paris)
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