Considérant l’inexorable étrangeté, le corps échappé
Considérant l’inexorable étrangeté, le corps échappé , 2021
Installation : tuyaux, dimensions variables Centre d’art téléphonique de Salmaise, 2021 Remerciements : Lucas Condamine, et les Amis de Salmaise
Crédit photographique : Sophie Mouron
Considérant l’inexorable étrangeté, le corps échappé , 2021 (détail)
Installation : tuyaux, dimensions variables Centre d’art téléphonique de Salmaise, 2021 Remerciements : Lucas Condamine, et les Amis de Salmaise
Crédit photographique : Sophie Mouron
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Au début, il y avait cette cellule, garante d’une intimité. Un caisson enveloppant, à dimension presque humaine. Et puis, ça l’a peu à peu phagocyté, jusqu’au franchissement de l’inconnaissable...
Sophie Mouron
Considérant l’inexorable étrangeté, le corps échappé , 2021 (détail)
Installation : tuyaux, dimensions variables Centre d’art téléphonique de Salmaise, 2021 Remerciements : Lucas Condamine, et les Amis de Salmaise
Crédit photographique : Sophie Mouron
Considérant l’inexorable étrangeté, le corps échappé , 2021
Installation : tuyaux, dimensions variables Centre d’art téléphonique de Salmaise, 2021 Remerciements : Lucas Condamine, et les Amis de Salmaise
Crédit photographique : Sophie Mouron
Considérant l’inexorable étrangeté, le corps échappé , 2021
Installation : tuyaux, dimensions variables Centre d’art téléphonique de Salmaise, 2021 Remerciements : Lucas Condamine, et les Amis de Salmaise
Crédit photographique : Sophie Mouron
Considérant l’inexorable étrangeté, le corps échappé , 2021
Installation : tuyaux, dimensions variables Centre d’art téléphonique de Salmaise, 2021 Remerciements : Lucas Condamine, et les Amis de Salmaise
Crédit photographique : Sophie Mouron
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