Ce sont des paysages démultipliés et séquencés. Comme des fragments de films un peu désuets qui rendraient compte de flâneries naturalistes ou d’expéditions botaniques. Des séquences, toutefois, non pas en quatre, telles qu’elles semblent se donner à voir, mais en cinq phases. Et un cheminement qui n’est l’arpentage, en réalité, que d’une unique image.
Passe-passe et faux-semblants.