Mon travail, aux catégories parfois étranges, tend à explorer un même espace que je nomme forêt. Aussi les signes servent ils à marquer le paysage, et les outils, à fabriquer les cabanes pour se protéger des bêtes. C’est dans cet abri que la conscience du corps se dessine.
Christophe Doucet
2012
© Adagp, Paris