Suite à l’occupation des terres situées au nord de la mer d’Aral (Kazakhstan) et de la canalisation des eaux de l’Amou-Daria et du Syr-Daria par les sociétés cotonnières et pétrolières, les fleuves se déversant dans la mer d’Aral se sont peu à peu réduits, jusqu’à ne plus être en mesure d’approvisionner en eau le grand lac intérieur. Cet appauvrissement des fleuves à pour conséquence l’assèchement de la plus grande mer intérieur de la planète, et la reconversion forcée d’une population, vivant alors de ce que procurait la mer d’Aral.
© Adagp, Paris