Le film retrace le voyage d’un jeune figuier de Bordeaux à Rioux-Martin (au jardin de Cairnhill) sa terre d’accueil… Mais c’est du point de vue exclusif du figuier que cette aventure nous est livrée. Regard amusé – de moi-même ou du figuier lui-même ? – autant sur notre rapport au monde naturel, que sur l’anthropocentrisme et l’anthropomorphisme qui en procède, Le Voyage fait et force l’expérience de cette propension typiquement humaine.
Le voyage du figuier ne fut et n’est pas que celui du figuier...
Sophie Mouron
Merci à Joss Burke pour l’accueil qu’elle nous a réservé, au figuier et à moi-même et merci à Véronique Lamare pour son aide précieuse.
© Adagp, Paris