Heliocentric’o’clock

Imaginée durant le temps rompu du premier confinement, cette horloge, semblable à un grand cercle solaire, est davantage un calendrier qu’une montre. Les chiffres, ici remplacés par des lettres, forment un mot, comme une énigme dont la réponse est contenue dans le titre de la pièce.

 

  • Heliocentric’o’clock, 2020
    Dibond doré découpé et gravé au laser, mécanisme en cours de création
    1,25 mètres de diamètre
     
    Œuvre conçue durant une résidence au bel ordinaire et co-produite par la Fabrique Pola et Zébra3
    Vue de l’exposition Code Qauntum (2021), en façade de la Fabrique Pola. Commissariat Zébra3
    Crédit photographique : Benoît Cary
  • Heliocentric’o’clock, 2020
    Dibond doré découpé et gravé au laser, mécanisme en cours de création
    1,25 mètres de diamètre
     
    Œuvre conçue durant une résidence au bel ordinaire et co-produite par la Fabrique Pola et Zébra3
    Vue de l’exposition Code Qauntum (2021), en façade de la Fabrique Pola. Commissariat Zébra3
    Crédit photographique : Benoît Cary

 

H, E, L, I, O, C, E, N, T, R, I, C, dont le centre est Helios, le Soleil, divinité grecque représentée avec une couronne rayonnante et traversant le ciel sur son char doré. Chacune des douze lettres correspond à un mois de l’année. L’aiguille indique notre position autour de l’étoile, l’instant T perceptible, quelque part dans l’espace d’une ronde annuelle.

Geörgette Power

 

  • Heliocentric’o’clock, 2020
    Vue de l’exposition Véranda, 2021
    Crédit photographique : Geörgette Power
  • Documentation de la recherche
    Une image du temps rompu durant le premier confinement.
    Horloge publique avec une aiguille décrochée. Place de la Comédie, Bordeaux
    Crédit photographique : Geörgette Power

 

Documentation de la recherche
Un cercle d’espace et de temps, carte donnant à voir la zone des déplacements autorisés durant le premier confinement (un kilomètre autour de son domicile, durant une heure par jour).

 

Dans les ateliers de production Zébra3, Bordeaux
Crédit photographique : Amélie Boileux

 

© Adagp, Paris