À l’occasion de l’exposition Parcours Carne, à Paris en 2011, j’ai adapté Ce que je vois ne me regarde pas à la matière organique qu’est la chair animale. Dès lors, l’idée directrice du projet était d’utiliser la représentation plastique et la considérer comme un élément réel : ce n’est pas une peinture, c’est une poitrine de porc.
© Adagp, Paris